Aviation civile 2 : Entre deux guerres.

   La 1re guerre mondiale terminée, l'Armistice signé, l'aviation civile va pouvoir prendre son envol.

   L'année 1919 voit un début d'organisation de l'aviation civile en France.

   Sont créés les Établissements de l'Aéronautique, le Service Technique de l'Aéronautique, le Service des Fabrications de l'Aéronautique ainsi que le Service de la Navigation Aérienne. On peut ajouter à cela la création, en 1920, de l'Office de Météorologie, qui jouera un rôle très important dans la réussite de grands raids aériens.

   Le 8 février 1919 est créée la 1re liaison aérienne Paris-Londres.

   L'appareil utilisé est un Farman F-60 Goliath, conçu comme bombardier. La production a commencé pendant le conflit, il était prévu de l'utiliser pour les offensives de 1919.

   L'appareil a de quoi impressionner avec ses 26 m d'envergure, pour une longueur de 14 m.

   Avec ses deux moteurs Salmson de 260 cv, il pouvait atteindre une vitesse maximum de 140 km/h avec 12 passagers à bord.

 Farman F-60 Goliath

    Le 10 février 1919 est créée la 1re liaison aérienne Paris-Bruxelles. L'appareil utilisé est un Caudron C-23.

   Il s'agit d'un bombardier de nuit (la dénomination militaire est d'ailleurs C-23 BN) de la Grande Guerre, qui pouvait transporter 600 kg de bombes.

- Envergure supérieure : 24,50 m.

- Envergure inférieure : 23,57 m.

Pour une longueur de 13 m. 

   Il est équipé de deux moteurs de 260 cv.

   Sa vitesse maximum est de 143 km/h et son plafond est de 3.500 m d'altitude.

   Pour cette 1re liaison il subit quelques modifications mais ne peut encore embarquer que cinq passagers. Il subira d'autres modifications lui permettant de transporter :

- 12 passagers à l'air libre (version C-23)

- 15 passagers en cabine (version C-23 bis).

 Caudron C-23

   Le Vickers FB-27 Vimy, autre bombardier de la Grande Guerre, s'avère être un excellent avion de transport de passagers. Modifié pour la circonstance, il est baptisé Vickers FB-27 Commercial.

    Bénéficiant de bonnes conditions pour de longs vols, il accumule de nombreux records Le plus mémorable fut celui de la traversée de l'Océan Atlantique, d'Ouest en Est, sans escale, le 14 juin 1919 ; il est piloté par le capitaine John Alcock et le lieutenant Arthur Whitten Brown.

   La même année, Ross et Keith Macpherson Smithn remportent un prix de 10.000 livres, remis par le gouvernement australien pour le raid Angleterre-Australie.

Vickers FB-27 Commercial

     Le Caudron G-3 a été conçu pendant la 1re guerre mondiale. Biplace, il est destiné à l'observation aérienne et à la reconnaissance. Le cas échéant il pouvait servir comme bombardier.

   Robuste et fiable, il est également utilisé comme avion "école", pour la formation des pilotes. 

   C'est aux commandes d'un avion de ce type qu'Adrienne Bolland réussit une prouesse : le 1er avril 1921 elle franchit la Cordillère des Andes, entre Mendosa et Santiago du Chili, en "grimpant" à l'altitude de 4.000 mètres, en 3 heures 15 minutes.

Caudron G-3

 

     Après l'aviation commerciale, voilà qu'apparait un autre type d'aviation : l'aviation de plaisance, plus communément appelée aviation de tourisme.

   Cette aviation-là nait dès les années 20.

   Cet entre-deux guerres vit venir nombre de pilotes amateurs, qui se firent même de plus en plus nombreux, utilisant de vieux avions d'entaînement de l'armée, achetés à peu de frais. Diantre, c'est qu'aucune réglementation n'avait été spécialement conçue pour ce genre d'utilisateurs : d'où d'ailleurs le nom attribué à cette période de l'entre-deux guerres : l'âge d'or.

   Le 5 janvier 1923, Joseph Thoret réussit un vol de 7 h 03 ' avec moteur coupé et hélice calée à Biskra (Algérie), à bord d'un avion Hanriot HD-14. Il est l'inventeur du vol à voile.

Hanriot HD-14

 

     L'intérêt de "l'amateur" ne faisant que croitre, les constructeurs répondirent donc à la demande. L'un de ces avions, destiné à "Monsieur tout le monde" de l'époque, fut le De Havilland DH-60 Moth. Celui-ci effectua son premier vol le 22 février 1925.

   Il fut à ce point efficace qu'une version améliorée, le DH-82 Tiger Moth, fabriqué dans les années 30, fut utilisé dans les centres écoles de la R.A.F.

   Nombre d'entre eux servirent pour former les pilotes d'Hurricanes et autres Spitfire, qui défendirent l'Angleterre pendant la bataille éponyme.

 De Havilland DH-60

 

    Toujours avec le même type d'appareil, le 5 juin 1922, les portugais Cabral et Coutinho effectuent la première traversée de l'Atlantique Sud en plusieurs étapes.

    Entre 1919 et 1928, on compte 28 tentatives de la traversée de l'Atlantique. Seules 4 ont réussit, d'Ouest en Est.

   Le 8 mai 1927 à 5 h 20, Charles Nungesser et François Coli décollent de Paris le Bourget à destination de New Yord, à bord d'un avion Pierre Levasseur PL-8 baptisé "Oiseau blanc".

   L'avion, porté disparu, ne sera jamais retrouvé. 

Pierre Levasseur PL-8

 

       Le 1er a avoir réussit la traversée de l'Atlantique Nord, en solitaire, est Charles Lindbergh, le 21 mai 1927, à bord de son avion "Spirit of St Louis".

 

        Le 19 août 1929, Léna Bernstein est la première femme à traverser la Méditerranée aux commandes du Caudron C-109.

 

     Le 12 mai 1930, sur hydravion Latécoère 28-3 "Comte de la Vaux" (immatriculé F-AJNQ), Jean Mermoz, Jean Dabry (navigateur) et Géo Gimié (radio), effectuent la 1re traversée postale, sans escale, de l'Atlantique-Sud (3.173 km en 21 h 10 ').

   Le trajet fut périlleux mais accompli avec succès. Mermoz tenait à effectuer le trajet retour, dans les même conditions, mais l'entreprise se soldat par un échec. Le décollage lui-même fut très compliqué. Il ne fallut pas moins d'une cinquantaine de tentatives, entre le 3 juin et le 8 juillet, jour où il parvint - enfin - à décoller et partir. Après 2.000 km de vol, Mermoz dû faire face à une fuite importante d'huile, le contraignant à amerrir. Secouru par l'aviso "Phocée" l'hydravion fini par sombrer en raison d'une voix d'eau dans le flotteur gauche.

Latécoère 28-3 "Comte de la Vaux"

   Le 1er septembre 1930 Costes et Bellonte traversent l'Atlantique-Nord, d'Est en Ouest (Paris - New-York), aux commandes du Breguet XIX " ? " (Point d'interrogation).

   Cet appareil, né du Breguet XIV, fut mis en service en 1922 et fut plusieurs fois modifié pour arriver au modèle XIX TF Super Bidon, construit en 1929. Avec une capacité totale de carburant de 5.370 litres, il était apte pour le vol transatlantique.

   Il est aujourd'hui précieusement conservé au Musée de l'Air et de l'Espace, où il s'offre aux yeux des visiteurs.

 

    En 1920, après que la France eut gagnée définitivement la Coupe Gordon Bennet, à l'issue de sa 3e victoire successive, l'intérêt se porta sur le Trophée Schneider, conçu pour les hydravions.

   En 1927 l'Angleterre emporte sa première victoire avec le Supermarine S-5/25 N.220. Le modèle suivant, le S-6 N.247 remporte une seconde victoire en 1929. En dépit des chances élevées de remporter définitivement le trophée par une troisième victoire, le gouvernement britannique, affaibli par la grande crise économique des années 30, annonça son retrait de la compétition. L'équipe anglaise put cependant prendre part à la compétition grâce à l'intervention de Lady Jouston qui fit don de 100.000 livres sterling. La France et l'Italie n'eut pas le temps de terminer la mise au point de leur appareil, les Etats-Unis s'étant retirés (crise de 1929 oblige), le Royaume-Uni était seul à concourir et remporta ainsi la coupe (13 septembre 1931). Il n'empêche que la mise au point su S-6 B donna naissance, quelques années plus tard, au Spitfire qui fut, comme chacun sait, le plus célèbre avion de chasse de la seconde guerre mondiale et l'un des grands vainqueur de la Bataille d'Angleterre.

    Supermarine S.6.B - S.1595

 

   Le 11 février 1932 l'avion "Arc en ciel" de René Couzinet fait son 1er vol inaugural. 

   Du 6 mars au 5 avril 1932, c'est la 1re liaison aérienne Paris-Nouméa.

   Le 16 janvier 1933 Mermoz traverse l'Atlantique Sud (3.200 m en 14 h 32).

Couzinet "Arc en ciel"


    La Compagnie aérienne allemande Lufthansa est créée le 6 janvier 1926. Elle fait l'acquisition de son 1er Junkers 52 en mai 1932 (en mars selon certaines sources).

   La dénomination Ju-52 s'applique aux premiers appareils qui n'étaient pourvus que d'un seul moteur. Cet appareil effectua son 1er vol le 13 octobre 1930.

   Ce n'est qu'en mars 1932 qu'il fut modifié pour être configuré avec 3 moteurs ; il porte alors la dénomination Junkers Ju-52/3m.

Junkers Ju-52/3m

    Lockheed Vega (modèle 1) vola pour la première fois le 4 juillet 1927 et entra en service l'année suivante. 

   Il est conçu pour le transport de six passagers.

   Aux commandes de cet appareil, l'américaine Amélia Earhart effectua, le 20 mai 1932, effectua la traversée de l'Atlantique-Nord, de Terre-Neuve à l'Irlande, parcourant 3.200 km en 15 heures. Elle est la première femme a accomplir cet exploit. Elle pilotait le modèle 5-B (NR-7952).

Lockheed Vega 5-B
 

  L'aviation commerciale fait un nouveau bond en avant avec la mise en service du Boeing 247, le 22 mai 1933.

   L'appareil présente de nombreuses innovations telles qu'une cellule tout métal, une structure semi-monocoque et un train d'atterrissage escamotable, laissant toutefois apparaitre une partie visible, ce qui devait permettre de réduire les dommages à la structure en cas d'atterrissage sur le ventre (train rentré). D'une technologie très avancée, ce bimoteur est muni d'hélices à pas variable (à partir de la série 274-D). Il souffrait cependant d'un défaut majeur : il ne pouvait emporter que 10 passagers.

Boeing 247

    Un concurrent au Boeing 242 fait son apparition en 1934. Le Lockheed L-10 Electra effectue son 1er vol le 22 février.

   Il est le premier appareil de chez Lockheed à avoir été construit entièrement en métal. Sa capacité est également de 10 passagers.

   C'est aux commandes de cet appareil que l'aviatrice Amélia Earhart et son navigateur Fred Noonan, disparurent au-dessus du Pacifique, le 2 juillet 1937, lors d'une tentative de vol autour du monde.

   Le dessin représente un L-10 Electra de l'Army National Guard 

 Lockheed L-10 Electra

    L'aviatrice Hélène Boucher bat les records du monde féminins de vitesse sur avion Caudron Rafale C-450 "n° 13" :

- Le 8 août 1934 : 412,6 km/h sur 100 mètres,

- Le 11 août 1934 : 409,2 km/h sur 1.000 mètres.

   Elle décède quelques mois plus tard, le 30 novembre, lors d'un vol d'entraînement, aux commandes d'un Caudron C-430 Rafale. Un hommage national lui est rendu dans la cathédrale Saint-Louis aux Invalides à Paris.

Caudron C-450 Rafale

 

    D'une capacité de six passagers le De Havilland DH-89, surnommé Dragon Rapide, effectue son 1er vol le 17 avril 1934. Sa vitesse maximale est de 250 km/h et son plafond est de 5.800 mètres.

 

 De Havilland DH-89 "Dragon Rapide"

   L'aéroclub de France a l'idée de mettre en place le Challenge International de Tourisme. Il est mis en place par la Fédération Aéronautique Internationale. La 1re édition est organisée par la France (dernier vainqueur du Trophée Gordon Bennett en 1920), en 1929. L'Allemagne remporte le titre de la 1re et 2e Edition. La Pologne emporte la 3e Edition (1932).

   En 1934, la 4e Édition se joue donc en Pologne. Vainqueur pour la seconde fois, la Pologne se devait d'organiser l’Édition suivante qui devait se tenir en 1936. Pour des raisons financières, le pays préfère se retirer de la compétition. Face au refus de l'Allemagne, de la France et de l'Italie, de prendre en charge l'organisation du challenge, l'Edition de 1934 reste la dernière compétition et l'Aéro-Club de Pologne conserve le Trophée.

   Pour l'Édition de 1934, Willy Messerschmitt parvient à fabriquer six avions Bf 108, véritables petits avions de tourisme de quatre places (pilote compris).

   L'appareil fait son 1er vol le 13 juin 1934. Peu de temps après, en juin, le pilote d'essai se tue dans le crash de l'appareil.

   Sur les cinq exemplaires restant, quatre prennent part au challenge. L'un d'eux est abimé lors des épreuves d'atterrissage à faible vitesse. Les trois restant ne se classent que 5e, 6e et 10e.

   Avec l'arrivée au pouvoir d'Hitler (1933) et la remise sur pied de l'armée ainsi que de la conscription (1935), les demandes affluèrent pour réorganiser et approvisionner les différentes armes. A la demande du ministère de l'Air du Reich, Messerschmitt mit au point un chasseur monoplace issue du modèle Bf 108, le Bf 109.

 Messersschmitt Bf-108


      Avion trimoteur de transport, conçu comme avion de ligne mais qui sera transformé par la suite en bombardier.

   1er vol en décembre 1934, sa production commence l'année suivante. Sa capacité était de 16 passagers.

 Caproni Ca-133

  Le De Havilland DH-88 Comet fut spécialement conçu pour participer à la compétition Mac Robertson Air Race de 1934.

   Trois avions, d'une couleur spécifique pour chacun, se sont alignés au départ de la course, parmi 17 autres participants.

   Le noir : Black Magic (G-ACSP), piloté par leurs propriétaires Jim et Amy Mollison. Abandonnent après divers ennuis mécaniques. Il a ensuite été vendu au Portugal (CS-AAJ). Retrouvé en pitoyable état en 1979 dans ce pays, il se trouve actuellement en cours de restauration en Angleterre (Derby).

   Le rouge : Grovenor House (G-ACSS), appartenant à M.A.O. Edwards. Cet appareil, restauré est toujours en état de vol. Il est stationné dans la Shuttleworth Collection à Old Warden (Angleterre).

   Il est le vainqueur de la course Angleterre-Australie (Mildenhall-Melbourne) en 70 h 55.

   Le vert : (G-ACSR) financé par le pilote de course Bernard Rubin, a également rencontré des problèmes techniques mais a pu finir la course. Rebaptisé Reine Astrid, il a été vendu par la suite à la France qui l'a immatriculé F6-ANPY.

De Havilland DH-88 Comet "Grovenor House"
 
   Henri Mignet devait être animé de bons sentiments car son but, en concevant un avion simple, efficace et... peu onéreux, était bien d'offrir à chacun de pouvoir voler ("pour peu que l'on sache clouer une caisse", disait il).
   Son avion prêt, il offrit ses plans à quiconque voulait se lancer dans l'aventure, en les faisant paraître dans un livre "Le sport de l'air", publié en 1934.
   Le succès est au rendez-vous et, le 13 août 1935, il répond à une invitation du Daily Express, qui lui proposait de présenter son invention en Angleterre, et se rendant sur place en traversant la Manche aux commandes de son appareil, réitérant, en quelque sorte, l'exploit de Louis Blériot.
   C'est sans conteste le 1er U.L.M. de l'Histoire de l'aviation.

Le Pour du ciel

   Arrive un autre "oiseau" de légende : le Douglas DC-3. Son premier vol s'effectue le 17 décembre 1935. Il entre en service le 25 juin 1936... pour de longues années de bons et loyaux services.
   Une belle réussite pour l'entreprise Douglas Aircraft.
   A ce point fiable et... robuste, il entre au xervice de l'Armée de l'Air, sous le nom de C-47 Skytrain, plus connu aussi, sous le nom de : Dakota;
   Il sera adopté par de nombreux pays, tant dans sa version civile que militaire.

Douglas DC-3 (aux couleurs d'Air-France)

   Le 23 juin 1936, Maryse Hilsz bat le record d'altitude (14.510 m) sur biplan Potez 50. Elle était détentrice d'un 1er record d'altitude, obtenu le 19 août 1932, après avoir atteint l'altitude de 9.791 m, aux commandes de son avion Jockey Morane de 480 cv.

Potez 50

   Le Latécoère 300 "Croix-du-Sud", immatriculé F-AKGF, effectue son 1er vol le 17 décembre 1931 et fut mis en service en 1932.
   Il est le seul et unique exemplaire construit, à seule fin de servir l'Aéropostale.
   Il décolle pour son 1er grand vol, depuis l'étang de Berre, le 31 décembre 1933, pour amerrir à Saint-Louis du Sénégal, le 1er janvier 1934, parcourant la distance de 3.679 km (record de distance pour un hydravion).
   Sa première traversée de l'Atlantique Sud, de Dakar à Natal (3.418 km en 18 h 50) est à porter à son actif trois jours plus tard, le 3 janvier 1934.
   L'appareil compte à son actif huit traversées de l'Atlantique Sud, lorsqu'il est livré à Air France.
 
   S'il apparait ici, dans la chronologie de l'année 1936, c'est pour en arrivé à sa fin tragique :
   Le 7 décembre 1936, il décolle pour sa 25e traversée postale avec, aux commandes, le légendaire Mermoz. L'équipage se compose également d'Alexandre Pichodou (second pilote), Jean Lavidalie (mécanicien), Henri Ezan (navigateur) et Edgar Cruveilher (radiotélégraphiste). Un problème technique (changement de pas impossible sur une des hélices) contraint l'équipage à revenir à la base. Aucun autre appareil n'étant disponible, une réparation est effectuée et l'avion redécolle vers 7 heures. A 19 h 47 le radio envoie le message "Coupons moteur arrière droit". L'appareil s'abime en mer et ne fut jamais retrouvé, emportant avec lui son équipage.
 
 Latécoère 300 F-AKGF
   Le Caudron C-635 Simoun entre en service en 1935. Le pilote le plus célèbre à en avoir possédé un n'est autre qu'Antoine de Saint-Exupéry. Qui plus est, c'est aux commandes de cet appareil que "St Ex" a le malheur de se crasher, le 30 décembre 1935, dans le désert du Sahara. Cet accident survient alors qu'il tente le raid Paris-Saïgon, en compagnie de son mécanicien André Prévot.
   Il est une autre figure de l'aviation qui s'est illustré aux commandes de cet appareil, c'est Maryse Bastié qui, le 30 décembre 1936 (c'est pourquoi la présentation apparait ici), traverse, seule, l'Atlantique-Sud, de Dakar au Brésil (3.200 km en 12 heures).

Caudron-Renault Simmoun
 




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